L’immobilier à Vergèze

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L’immobilier à Vergèze

Comment se porte l’immobilier à Vergèze ?


L’année 2020, marquée par la crise sanitaire et les confinements, a fait peser de grandes incertitudes sur le marché immobilier. Pourtant, celui-ci se porte bien. Ainsi que celui de Vergèze, commune du Gard, en région Occitanie ! Faisons le point.

Après une année 2019 marquée par un record de transactions au niveau national, le marché immobilier aurait pu connaître un fort recul avec un exercice 2020 marqué par les restrictions. Pourtant, avec une baisse du volume de ventes de 9% au niveau national (1 060 000 à 960 000), il a confirmé sa résilience face à la crise !

 

Une bonne nouvelle pour le secteur, qui s’appuie sur deux facteurs majeurs :
 

  • L’attachement des Français à la pierre, qui ne se dément pas à travers les années
     
  • Les conditions d’octroi du crédit, qui restent favorables aux ménages

 

Si elle a ébranlé le marché de l’immobilier, en le figeant lors du premier confinement puis en le ralentissant lors du second, force est de constater que la crise sanitaire n’a nullement empêché la course folle à laquelle se livrent les prix des logements dans l’hexagone.

Sur les douze derniers mois, le prix de l’immobilier hexagonal accuse ainsi une hausse annuelle de 6,6 %, contre + 4,7 % en 2019 et + 3,5 % en 2018. Comme le fait remarquer Michel Mouillart, « pour retrouver une progression aussi rapide, il faut remonter à septembre 2011, lorsque le bénéfice du PTZ dans l’ancien avait fait bondir la demande et déséquilibré le marché». 

Pour autant, il est intéressant de constater qu’un changement s’est opéré. D’une part, l’offre qui venait déjà à manquer avant la crise sanitaire s’est encore raréfiée.

D’autre part, la demande – qui reste plus forte que jamais – a changé de visage. Comme l’explique Michel Mouillart, la demande s’est déplacée sur des « produits de meilleure qualité et de localisation plus recherchés ». Les Français veulent également acheter plus grand : Le porte-parole du baromètre LPI-SeLoger précise, en outre, que le « rythme de la hausse est particulièrement marqué sur le marché des maisons, avec + 7,5 %, contre + 5,3 % en 2019 et + 3,5 % en 2018 » Conséquence de ce besoin d’espace : les grandes villes ont moins la cote !


O.D. / MySweetProd © Adobe Stock